Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Né des flammes qui détruisirent, en 1258, la Cathédrale Notre- Dame d’Amiens, le Roman d’Abladane se présente comme la traduction française d’une...
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Résumé
Né des flammes qui détruisirent, en 1258, la Cathédrale Notre- Dame d’Amiens, le Roman d’Abladane se présente comme la traduction française d’une ancienne chronique latine brûlée pendant cet incendie. Son auteur, qui se cache derrière l’autorité de Richard de Fournival, était sans doute amiénois : il était probablement lié, d’une manière ou d’une autre, aux Jacobins d’Amiens. En mêlant sans cesse légendes populaires et vagues souvenirs historiques, il nous raconte un épisode du passé fabuleux de sa ville, à l’époque où l’ancienne Abladane, grâce aux prodiges de son « Virgile local », le magicien Flocart, osa rivaliser avec la puissante Rome et se rebeller contre Jules César, qui la rasa. Cette fabuleuse chronique de clocher est ici publiée pour la première fois d’après le seul manuscrit médiéval survivant (Paris, BnF, nouv. acq. fr. 18326), qui a appartenu à Charles Du Cange et qui a été récemment retrouvé. Elle mérite de retenir l’attention : comme l’écrivait Paulin Paris, le Roman d’Abladane « rappelle quelques monuments, quelques traditions, quelques vieux dictons ; c’est plus qu’on ne trouve dans la plupart de nos romans modernes ».